Invitation  à  pousser  la  porte...
ou  "finissez  d'entrer",  comme  on  dit  en  Creuse

Vous  n'avez  peut-être  aucun  lien  avec  l'Eglise,
et  pourtant  "Croire  vous  interpelle"...
Vous  vous  interrogez...


Vous avez pu ressentir 
un questionnement,
ou un appel,
à l'occasion...

d'un heureux 
événement,
Baptême
d'une naissance,
d'un baptême
Catéchisme
du catéchisme
de vos enfants
Mariage
de votre mariage  


d'un moment
difficile,

L'hôpital de Guéret
de la maladie, 
d'un accident

de l'accompagnement d'un proche âgé
Deuil
d'un deuil   
   

d'une rencontre,

d'un geste
d'un sourire

d'une parole, d'un film, d'un chant...

d'une lecture
  

d'un temps privilégié

d'une célébration

de la visite d'une église, d'un lieu de culte
ou, peut-être,
d'un appel intérieur...

Pour  aller  plus  loin...

Vous êtes "en recherche" ? Vous vous interrogez ?
Vous souhaitez partager vos questions, chercher le sens de la vie au-delà des impasses apparentes, 
découvrir ce que nous croyons...
Jetez déjà un petit coup d'oeil sur nos rubriques Baptême, Mariage, Education de la foi (Catéchisme), peut-être y trouverez-vous des éléments de réponse...

Etape suivante : venez en parler avec nous, dans un respect mutuel et réciproque. 

Nous pouvons nous rencontrer dans les locaux de la paroisse  , chez nous  , chez vous  , 
au café  , en terrain neutre  , sur la lune  (voyage à votre charge !), ailleurs encore  ...

Vous  voulez  pousser  la  porte  de  l'Eglise...  OSEZ !

CAPTCHA

   Résumé  de  théologie  pour  les  nuls  en  culture  religieuse  !...   

Tous les soirs, nous allons au lit, sans aucune assurance d'être encore en vie le lendemain matin, et pourtant nous réglons le réveil pour nous réveiller : ça c'est l'espérance...

Quand vous lancez un bébé en l'air, il rit parce qu'il sait que vous allez le rattraper : ça c'est la confiance...

Le pape St Paul VI appela un jour le couvent du Saint-Esprit à Rome. La Mère Supérieure décrocha en disant : « Bonjour, ici la Supérieure du Saint-Esprit, j’écoute ». Et le pape de répondre : « Désolé, vous allez devoir accepter de parler avec un simple vicaire du Christ ! » : ça, c'est l'humilité... 

Inscription vue sur le T-shirt d'un retraité : "Je ne suis pas un ancien de 70 ans, je suis un jeune de 20 ans avec 50 ans d'expérience" : ça c'est voir le meilleur en chacun...

La sécheresse et la canicule s'abattent sur un patelin des Combrailles. D'un commun accord, tous les villageois décident de prier pour avoir de la pluie.  Quelques heures plus tard, il tombe des cordes, mais seul un petit garçon avait pris un parapluie : bel exemple de foi... (c'est une histoire inventée de toutes pièces, car nous savons bien que dans les Combrailles, il peut fréquemment et il ne fait jamais très chaud...)

(adapté et remixé d'après une revue du MCR)


Deux jumeaux discutent dans le ventre de leur maman ; l'un est croyant, et l'autre non. Ecoutons-les :

- Oh... comme c'est étroit ici ! Je n'arrive plus à bouger... Tu es devenu trop grand !
- Mais non, c'est toi qui as trop grandi ! Moi je suis plutôt mince !
- Arrête de te moquer de moi : cela ne mène à rien ! Tout de même, tu as bien une idée de ce à quoi tout ça va aboutir ?
- Je n'en sais rien, moi !
- Tu ne crois donc pas qu'il y a une vie après la naissance ?
- Une vie après la naissance ? Tu y crois, toi, à cette superstition ridicule ?
- Mais bien sûr que oui ! C'est bien le but de notre vie ici. Il faut grandir et se préparer pour qu'on devienne assez fort pour la vie après la naissance.
- Tu es fou ! C'est complètement absurde ça, une vie après la naissance... Il n'y a aucune preuve de ce que tu avances, aucune, tu entends ? Allons, fais-moi rire : d'après toi, ça se passerait comment, là-bas dans cet espace étrange ?
- Je ne sais pas trop, moi ; mais de toute façon ce serait plus lumineux qu'ici. Et peut-être que nous allons être capables de marcher et de manger par la bouche, et tout le reste...
- Ouh la la... quelle bêtise ! Marcher, ça ne tient pas debout ! Nous sommes faits pour nager, pas pour marcher ! Et manger avec la bouche, quelle idée bizarre, puisque nous avons déjà le cordon ombilical qui nous nourrit. D'ailleurs, ce cordon est trop court pour se promener avec !
- Mais si ! Bien sûr que si que c'est possible ! Évidemment, il y a aura des différences avec aujourd'hui.
- Mais personne n'est jamais revenu de là-bas ! Personne ! Tu as bien compris ça ? Donc, avec la naissance, la vie se termine. Point final. D'ailleurs je trouve cette vie assez douloureuse et assez sombre comme ça.
- Même si je ne sais pas trop comment cela se passera après la naissance, de toute manière on va finalement voir notre maman !
- Notre maman ? Tu crois encore à ça, toi ? Quelle imagination ! Et d'abord, elle serait où, notre maman ?
- Ben, ici. Partout, autour de nous ! Sans elle on ne pourrait même pas vivre !
- Bah ! Je ne crois que ce que je vois ; or je n'ai jamais rien vu d'une maman, donc elle n'existe pas non plus !... Et toc !!!
- Mais si. Parfois, quand nous sommes calmes, j’entends comme une voix inaccessible, mais en même temps très proche de nous. Je pense qu’on la verra un jour. Comme il me tarde de la voir et de la connaître ! Et comme je veux l'aimer !

=> Nous sommes certainement faits pour la vie après la mort, en Dieu, au Paradis, même si nous ne sommes naturellement pas capables de l’imaginer à partir des réalités de ce monde... Dans une de ses homélies, St Bernard de Clairvaux (XII° siècle) développe cette belle pensée que, lorsque nous sommes sur Terre, nous ne sommes pas encore nés. Nous naissons lorsque nous entrons au Ciel. Sur la Terre, nous sommes portés dans le sein de Marie.

développé d'après le P. Jean-Robert Armogathe, sur le site https://questions.aleteia.org/articles/117/comment-imaginer-le-paradis-la-resurrection-de-la-chair-et-la-vie-eternelle/


Et après l'épidémie du coronavirus ? Le point de vue du P. Lejeune, prêtre du diocèse de Bordeaux.

 Si vous en connaissez d'autres du même genre, envoyez-les nous, on les partagera avec tous nos lecteurs !

AU-DELÀ


Celui qui n’a pas cru, dans une peur extrême,
Arrive à l'heure ultime où sonne un requiem.
Il est venu pour lui, le temps des chrysanthèmes,
Et son âme perdue croise L’Être Suprême.

- Qu'as-tu fait de ta vie en dehors du blasphème ?
Tu as tourné talons et risqué l'anathème ;
Pour ceux qui sont ici, tu n'es pas une crème.

- Aurais-je tout perdu ? Mon âme en devient blême.
J'ai tant aimé le monde, et ma famille m'aime ;
J'ai respecté la terre et ce que les gens sèment.

- Laisse-Moi réfléchir à l'étrange dilemme…
Puisque tu as aimé, et que le monde t’aime,
Pour un temps Je t’écarte... et te laisse en carême.

EG

À la porte du Ciel, un type se présente au bureau des réclamations devant Saint Pierre, et il est en furie : 

- Mais bon sang, qu’est-ce que je fais là ? Regardez-moi : j’ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas ; hier soir, je me couche bien sagement dans mon lit, et voilà que je me retrouve dans l'autre monde. C’est certainement une erreur !

– Eh bien, lui répond Saint Pierre, troublé, ma foi, ça n’est encore jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier. Comment vous appelez-vous ?
– Dugrummeau. Norbert Dugrummeau.
– Oui… Et votre profession ?
– Garagiste. Garagiste indépendant.
– Voyons un peu… Ah, oui ! Voyons, voyons, voilà votre fiche. Dugrummeau Norbert, garagiste… Hum, hum... Eh bien, mon cher Monsieur Dugrummeau, vous êtes mort de votre grande vieillesse, tout simplement !
– De vieillesse ? Mais enfin, ce n’est pas possible, je vous le répète, j’ai 35 ans !
– Ah, moi, je ne sais pas, Monsieur. Mais on a fait le compte de toutes vos heures de main-d’œuvre que vous avez facturées à vos clients, et au total cela fait 124 ans »
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