Cette chapelle du XV° siècle, très dégradée pendant la Révolution, a été entièrement rénovée au XIX° siècle, puis restaurée en 1991. Elle abrite un triptyque dit "de St Eloi" (XV° ou XVI° siècle, classé Monument historique), composé de trois panneaux de bois de chêne, sur lesquels sont peints différents épisodes de la vie de St Eloi.
En savoir plus : sur cette chapelle, sur le village de Crocq, sur St Eloi.
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Photos ci-contre (de gauche à droite) :
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À l’occasion du pèlerinage à Notre Dame de Crocq, le 5 juillet 2020, la croix restaurée a été présentée et bénie par l’abbé Jean-Luc Puig. Initiée par la commission communale du patri- moine et des sites, la restauration de la croix (située devant l’église de Crocq) a eu lieu sous l’égide de l’ancien maire Jacques Longchambon, qui a fait intervenir André Roy, forgeron d’art à Fresselines.
Un grand merci à eux tous !
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Cette église paroissiale Saint-Martin remonte au XIII° ou au XIV° siècle, et a été remaniée au XVI° siècle. L'arc triomphal porte la date de 1520. L'édifice fut par la suite agrandi au XVIII° siècle (à l'époque ou le Père Michon était vicaire) par adjonction de chapelles latérales, et restauré au XIX° siècle (d'après Wikipedia). A noter dans cette église plusieurs tableaux du XVIII° siècle (dont l'un représente Saint Martin qui coupe son manteau en deux, pour en offrir la moitié à un pauvre) ; tableaux d'un peintre aubussonnais de la famille de La Seiglière, mais on ne sait pas lequel...
En savoir plus sur l'histoire de Flayat
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Photo 1 : le maître autel et sa magnifique décoration
Photo 2 : vue générale de l'église
Photo 3 : la date de 1520 confirme le remaniement du XVI° siècle.
Cette chapelle appartenait à l'Ordre de l'Hôpital (Ordre des Hospitaliers de St Jean de Jérusalem, qui est ensuite devenu l'Ordre de Malte). Certains historiens pensent même qu'elle aurait pu appartenir initialement à l'Ordre du Temple, et qu'elle aurait été transférée à l'Ordre de l'Hôpital au moment de la suppression de l'Ordre du Temple (vers 1310) ; mais aucun document connu ne confirme cette hypothèse ; toujours est-il que, localement, on parle encore d'une "chapelle templière".
Le modeste bâtiment de cette chapelle remonte au XII° ou XIII° siècle, puis il a été rénové, remanié et agrandi vers 1555. A la Révolution, Pallier est devenu une commune indépendante pendant quelques années, mais a rapidement été rattaché à la commune voisine de Gentioux ; pendant cette courte période, la chapelle est donc devenue église paroissiale. Elle est inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques (1974), ainsi que plusieurs éléments de sa décoration (statues, restes d'un retable en bois disparu dans la seconde moitié du XX° siècle).
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Photo 1 : Le chevet plat (arrière de la chapelle) et le petit cimetière où sont enterrés plusieurs moines-chevaliers de l'Ordre de Malte.
Photo 2 : Le clocher-mur et l'entrée de l'église ; remarquer l'épaisseur des murs et contreforts, construits pour défier les siècles !
Photo 3 : Statue (en bois peint) de Ste Madeleine, la pécheresse convertie qui est devenue le premier témoin de la Résurrection de Jésus-Christ. Noter son abondante chevelure, avec laquelle elle essuya les pieds de Jésus... Elle est la sainte patronne de la chapelle (et de beaucoup d'autres églises et chapelles de la région). Cette statue est posée sur une pierre sculptée qui représente le voile de Véronique ; le personnage est le Christ, et son visage rappelle nettement celui du Saint Suaire de Turin.
Seigneur, Tu es la porte,
Ta vie en est la clé.
Notre foi nous emporte.
Avec humilité,
Nous frappons, ouvre-nous.
Notre coeur est en friches,
Nous ne sommes pas riches
De générosité,
De partage et d'amour.
Alors, mettons toujours
En Toi, notre confiance.
Ta Vie remise gomme
Totales aspérités,
De nos agissements
Loin des commandements.
Seigneur, ajuste-nous,
Pour entrer au Royaume,
Où règne l'Abondance.
EG
Cette belle église romane (Monument historique le 13 novembre 1974) remonte au XI° siècle. Elle a été magnifiquement restaurée dans les années 2005-2012. Ses grandes dimensions nous rappellent que la commune a été autrefois très peuplée (plus de 2300 habitants au XIX° siècle), avant de chuter à environ 300 habitants de nos jours... évolution hélas similaire à celle de tant de communes du département...
A admirer :
Voir plus de photos de l'extérieur et de l'intérieur de cette église après sa récente restauration : cliquez ici.
En savoir plus : sur le village de Lupersat, sur les travaux de restauration.
Cliquez ici pour voir l'article détaillé sur l'église de l'Assomption de la Vierge Marie et St Pardoux avec ses deux célèbres clochers-murs perpendiculaires.
La partie la plus ancienne de cette charmante église remonte au moins au début du XII° siècle ; elle a été agrandie au XV° siècle par l'ajout de deux travées. Le clocher est découplé de l'église, quelques mètres les séparent (bien visibles sur la photo aérienne ci-contre).
Sur le mur Nord du choeur, se trouve un beau tableau du peintre Jean-Gilbert Murat (1807-1863, né à Felletin), représentant "Les Saintes Femmes au tombeau", que nous présente une video sur Youtube. Cette oeuvre d'un style très classique, remontant aux années 1840, restaurée en 1999, a été inscrite comme Monument Historique en 2014.
Pour démarrer la vidéo : cliquez sur le triangle blanc au milieu de l'image, et n'oubliez pas de régler le son pour entendre les explications et commentaires.
Source de cette vidéo : site du Conseil Départemental, page Culture et patrimoine > Unité Patrimoine et Paysages > Vidéos > Un trésor dans mon département.
En savoir plus sur l'historique et la description de cette église et de son mobilier (église classée Monument Historique en 1923)
Cliquez ici pour lire le remarquable article sur l'église St Blaise et Ste Marguerite à Saint Bard et sur l'association "St Bard et son patrimoine", qui préserve et restaure les éléments du patrimoine communal, et en particulier cette église.
Cette église remonte aux XIII° / XIV° siècles.
A l'intérieur, un reliquaire abrite une précieuse relique : la mâchoire de St Domet (son nom est une déformation locale de St Domine ou Dumine ou Duminy). Admirer également plusieurs statues anciennes en bois.
Voir plus de photos de cette église.
En savoir plus sur l'ermite St Domine (VI° siècle).
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Il s'agit de la chapelle d'une ancienne commanderie de l'Ordre de l'Hôpital (Hospitaliers de St Jean de Jérusalem), devenu ensuite Ordre de Malte.
Cette chapelle a été édifiée à la fin du XII° siècle. Elle est ornée de remarquables peintures murales, datées du XIII° siècle, redécouvertes dans les années 1980, en particulier des "croix de consécration" présentées par certains apôtres. A noter aussi un retable baroque du XVII° siècle, repeint aux couleurs nationales (bleu - blanc - rouge), peut-être pendant la Révolution...
Le film ci-dessous, réalisé par Marc Bielli, vous en apprendra plus... Cliquez sur le triangle blanc en bas à gauche de l'image. Pour voir le film en "plein écran"', cliquez sur le signe en bas à droite, entre et le v de vimeo ; et n'oubliez pas de régler le son pour entendre le commentaire...
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Photo 1 : la croix de consécration de St Pierre
Photo 2 : un angle de l'église
Photo 3 : agrandissement de la statue de la Vierge à l'enfant Jésus
Photo 4 : la croix de consécration de St Jean
Photo 5 : croix de Malte sculptée dans la pierre
Photo 6 : le portail d'entrée et ses voussures
Photo 7 : intérieur de la chapelle.
Vue côté nord-est depuis St Georges Nigremont
Photo : Aubussonais [CC BY-SA 4.0 (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0)]
"Ecoute voir"
Viens à Saint Georges Nigremont,
Viens contempler la Création.
"Ecoute voir" sur les Monts Noirs.
Ouvre tes yeux, tu peux le croire,
Dieu fait pour nous tant de merveilles.
Le calme remplit nos oreilles.
Les Monts découpent l'horizon.
Devine l'eau dans le vallon,
Les gouttes perlant de nuages.
Machines inventant des mirages.
Arbres magnifiques aux troncs lisses,
Eveillée, la nature tisse
Les jeunes feuilles tout en douceur.
De plantes naissent des odeurs.
Fruits, légumes à maturité,
Feront des mets à déguster.
La Création ouvre les sens.
En faisant, un temps, le silence,
Dans notre corps et notre coeur,
Nous rencontrons le Créateur.
E.G.
Le village de St Georges Nigremont, situé entre Felletin et Crocq, occupe un emplacement exceptionnel au sommet du Nigremont (ce qui veut dire : Mont Noir), à 746 m d'altitude et au bout d'une route en spirale (spéciale pour les dahus !) ; de là-haut se dégage un vaste panorama sur la Haute Marche, le plateau de Millevaches et les volcans d'Auvergne, distants de 50 km.
Selon l'écrivain Grégoire de Tours, la paroisse de St Georges Nigremont aurait été fondée au VI° siècle, autour d'un oratoire construit par des moines-ermites et consacré à la vénération de reliques de St Georges.
Le Nigremont est fortifié au haut Moyen-Âge, avec la construction d'un petit château-fort accolé à l'église.
L'église actuelle remonte au XIII° siècle, mais elle a ensuite fait l'objet de plusieurs transformations et rénovations à travers les siècles. L'intérieur vient d'être magnifiquement restauré : l'inauguration a eu lieu le 12 juillet 2018.
En savoir plus sur la commune de St Georges Nigremont .
A noter la présence d'une crêperie à côté de l'église (07 52 36 64 30 – 06 27 71 03 09).
En savoir plus sur la légende de St Georges terrassant le dragon
Ci-dessous : concert de la chorale "Cantate en Fa" dans l'église de St Georges Nigremont
Saint Georges, reviens terrasser,
Le mal qui rôde autour de nous,
Se réjouit de nous voir tomber,
Au sol, traînant à ses genoux.
Nous supplions notre Seigneur :
Qu'Il nous accorde autant de force,
Pour lutter contre le féroce,
Afin de libérer nos coeurs.
Puisque tu es sorti vainqueur,
Du mal, chassé par le Seigneur,
Saint Georges, écoute nos prières,
Et porte-les à notre Père.
E.G.
Cette église, modeste mais originale (Monument historique en 1969), est placée sous le vocable de St Martial, évangélisateur du Limousin (III° siècle) et premier évêque de Limoges. Sa construction remonte à la fin du XIII° siècle / début du XIV° siècle. Elle est située sur un replat dominant la Creuse d'environ 30 mètres, position stratégique remarquable. Pendant la guerre de Cent Ans, l'église fut d'ailleurs surélevée et fortifiée et eut à jouer un rôle militaire. Aujourd'hui, la base carrée du clocher est en bardeaux de châtaignier (pas d'époque !), avec des abat-sons qui, par leur forme et leur ouverture, font encore penser à des postes de guet... (voir photo 4).
Admirer à l'intérieur : un antependium (devant d'autel) en cuir repoussé, ciselé et décoré, de fabrication italienne, remontant au XVIII° siècle (Monument historique).
En savoir plus : sur cette église, sur l'antependium, sur l'évêque St Martial.
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Cette église, consacrée à St Médard (évêque de Noyon mort vers 550), date des XI° et XII° siècles ; une chapelle a été ajoutée au Nord, au XVI° siècle. Elle est construite sur une éminence d'où se dégage une belle vue. A l'intérieur, voir les chapiteaux sculptés et le baptistère. Monument historique le 3 mars 1969.
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1. Vue générale de la nef depuis la tribune ; au fond, l'abside en demi-cercle et la voûte en cul de four.
2. Les fonts baptismaux : la cuve en granit est à droite, partiellement masquée par l'autel ; le sol est au niveau d'origine, ce qui montre que le reste de l'intérieur de l'église a été surélevé de plusieurs décimètres au cours des siècles. La statue de St Rémi (derrière la grille en fer forgé) rappelle le baptême de Clovis et des Francs, symbole et origine de la France.
3. Vitrail de St Médard. Il porte les attributs de l'évêque : la mitre (coiffure pointue sur sa tête) et la crosse (bâton de berger avec le bout recourbé pour tenir les moutons, rappel de la phrase de Jésus à St Pierre "Sois le berger de mes brebis").
4. L'Assomption. Tableau de Saunier (XVIII° siècle)
5. Vue extérieure de l'église.
6. "Laissez venir à moi les petits enfants" - Sculpture sur bois placée à coté du baptistère, puisque c'est souvent là que les bébés entrent dans la famille de Dieu par le sacrement du baptême. Admirer la finesse du travail...
La Rochette était une commune indépendante jusqu'au 1° septembre 1972, date de sa fusion avec St Médard. Cette commune avait compté jusqu'à 1000 habitants, au milieu du XIX° siècle.
Au Moyen-Âge, La Rochette dépendait du prieuré de Blessac, celui-ci dépendant de la châtellenie d'Ahun. Cette terre devint la propriété des Saint-Julien en 1460, lorsque Jacquette de Saint-Marc, dame de La Rochette, épousa Louis de Saint-Julien ; mais en 1672, la terre de la Rochette et son château-fort (avec trois corps de logis, les tours qui sont autour, et pont-levis sur le devant) furent saisis sur leur descendant Philippe de Saint-Julien, en paiement d'une dette de 45 000 livres.
L'église de La Rochette est dédiée à St Pardoux. De style roman massif, elle remonte au XII° siècle. Elle est surmontée d'un clocher central et comporte deux nefs accolées ; la porte côté nord est du XIII° siècle.
A noter la présence, au lieu-dit Ceyvat, d'une chapelle dédiée à St Antoine, qui appartenait autrefois à la commanderie de Chamberaud. Cette chapelle a été reconstruite en 1745.
En savoir plus sur St Médard la Rochette, sur St Pardoux.
Cette charmante chapelle, de style gothique flamboyant (classée Monument historique en 1921), a été construite sur ordre de Charles d'Aubusson, seigneur de La Borne, à la suite d'une promesse faite à la Sainte Vierge Marie qui l’avait sauvé miraculeusement, alors qu’il était sur le point d’être englouti dans un marécage, avec son cheval, lors d’une partie de chasse.
La chapelle fut consacrée en 1524. À l'intérieur, au-dessus de l'autel, un superbe vitrail daté de 1522, don de François de Viersat, abbé de Chambon sur Voueize, représente l'arbre de Jessé (c'est à dire l'arbre généalogique symbolique de Jésus, voir la photo ci-dessous).
Un pèlerinage est organisé tous les ans à cette chapelle, le lundi de Pentecôte.
Voir les photos ci-dessous.
Elles ont été bien effacées
Dans la présence masculine,
Pourtant que de fidélité
Dans les racines féminines
Au pied de l'arbre de Jessé.
Rahab reconnaît, obéit,
Garde toute sa loyauté
Comme un fil rouge d'éternité.
Ruth aussi est restée fidèle.
Elle déclare à Noémi :
« Ainsi ton Dieu sera mon Dieu ».
À la recherche de leur pain,
De Bethléem prennent chemin.
Ruth trouve grâce aux yeux de Dieu,
Donne à la maison le bonheur
En concevant un serviteur.
Et peu à peu l'arbre grandit
Portant la promesse de Vie.
Cet arbre aux racines profondes,
Donne naissance au Roi du monde.
Comme une étoile en frondaison,
Marie jeune fille féconde
Porte la Lumière du monde.
Ainsi égales aux perles rares,
Passant tant de générations,
Les femmes ont porté comme un phare
Le beau projet de l’Eternel.
EG
St Michel de Veisse - Chapelle Notre Dame de Borne : Photos (de gauche à droite) choisir une imagette, puis cliquer sur l'image pour l'agrandir :
1 - Vitrail de l'arbre de Jessé : 500 ans et des couleurs toujours fraîches et lumineuses comme au premier jour... Tout commence par la prophétie d’Isaïe (chapitre 11, v.1 à 9): « Il sortira un rejeton de la tige de Jessé, et une fleur s’épanouira au sommet de la tige, et sur elle reposera l’Esprit du Seigneur… » De la poitrine du patriarche – la racine – monte l’arbre portant les douze rois d’Israël, jusqu’à la Vierge à l’Enfant, et illustrant la filiation royale du Christ, "fils" (c'est à dire : descendant) du roi David.Mur-clocher
en avant de l'église de St Quentin la ChabanneLa crypte
au fond et au milieu, la niche qui abrite la statue de Notre Dame Sous-TerreStatue de Notre Dame Sous-Terre
Vierge Noire à l'EnfantCette église (Monument historique 1925) a été presqu'entièrement reconstruite au XVII° siècle, sur les restes d'un précédent édifice du XIII° siècle, très dégradé pendant les guerres de religion. Il faut reconnaître que sa position, perchée au sommet d'une colline, attire l'attention de fort loin... Aujourd'hui nous apprécions le magnifique panorama.
A remarquer à l'intérieur : les voûtes peintes et leurs nervures, le retable en bois de style baroque (Monument historique 1992), avec ses colonnes torsadées et le meuble du tabernacle en bois doré.
Le presbytère, datant de 1752, a été transformé en restaurant "La Vallée Gourmande".
Voir plus de photos de cette église ; et encore d'autres belles photos de cette église.
En savoir plus : sur l'église St Silvain ; sur l'ermite St Silvain ; sur le pèlerinage à St Silvain.
AUX VISITEURS
DE LA FONTAINE MIRACULEUSE
DE SAINT SILVAIN BELLEGARDE
Tu ne fais que passer,
En ce lieu éloigné.
Tu t'approches et tu vois,
Fait de pierres, un écrin,
Pour les autres et pour toi.
Une eau si fraîche y coule,
Elle a guéri certains.
Et si tu n'y crois pas,
Respecte l'eau qui roule,
Cette eau, elle chante et dit :
"Je passe et je nourris,
L'âme de la nature,
Tu dois me garder pure,
Toi passant, mon ami."
Toi qui viens pour prier,
Source guide tes pas.
Tu prends l'eau de la vie,
Tu y plonges les mains.
Mais ne la souille pas,
L'espérance y fleurit.
Prières de mamans,
Guérison d'un enfant,
Notre bon Saint Silvain,
Demandes portera.
EG
Cliquez ici pour lire le passionnant article sur l'église St Sulpice à Saint-Sulpice-les-Champs.
L’église Saint Martin de Vallière a retrouvé des couleurs. Les vitraux rénovés, la nouvelle croix en haut de la flèche, et le son des cloches, sont les aspects les plus visibles et audibles de ce qui a déjà été réalisé. Les travaux sur le clocher, la charpente, l’installation de gouttières, sont moins apparents, mais ils étaient nécessaires pour consolider le bâtiment et remédier aux problèmes d’humidité.
L’association REV a participé au financement des vitraux pour 15000 €.
Il restera encore beaucoup à faire à l’intérieur, donc l’action de REV se poursuit. Des animations ont été organisées pendant l'été 2018, notamment :